20 / 04 / 2022
Focus sur les neurotransmetteurs
Bien dans sa tête, bien dans son corps, dit-on, et inversement. Santés physique et mentale sont étroitement liées, l’une agissant sur l’autre en un lien intime dans lequel les neurotransmetteurs jouent un rôle primordial. Ces substances chimiques messagères sont essentielles à notre bon fonctionnement physique et psychologique. Sans eux nous ne pourrions simplement pas vivre. Ils nous permettent de respirer, de nous mouvoir, de ressentir la douleur, de dormir, d’avoir une pensée claire, et sont aussi des régulateurs de l’humeur. Ils sont indissociables de nos émotions. La bonne circulation de ces neuromédiateurs est ainsi la clé de notre bien-être. Si elle n’est pas bonne, à cause d’une carence et/ou d’un déséquilibre, divers troubles apparaîtront tels qu’une difficulté à se lever le matin, de la procrastination, de l’anxiété, des troubles anxieux… Je vous propose aujourd’hui de voir comment repérer un déséquilibre en fonction des signes présentés et le ou les neurotransmetteurs impliqués afin de mettre en place la stratégie micronutionnelle et phytonutritionnelle qui lui est propre, car chaque neurotransmetteur a ses spécificités1.
Qu’est-ce qu’un neurotransmetteur ?
Un neurotransmetteur est une substance chimique qui transmet l’information d’une cellule nerveuse (neurone) à une autre, en traversant l’espace situé entre ces cellules, la synapse. La libération de neurotransmetteurs résulte d’un influx nerveux émis par la cellule nerveuse. Le neurone qui émet l’influx et libère les neurotransmetteurs est dit pré-synaptique et celui qui le reçoit, post-synaptique2.
Les neurotransmetteurs sont également appelés neuromédiateurs en raison de leur rôle de messagers. Ils permettent à nos cellules nerveuses de communiquer entre elles et ainsi de transmettre des instructions à notre corps3.
La bonne circulation de ces neuromédiateurs est la clé de notre bien-être. Particulièrement, du point de vue émotionnel, ils impactent sur nos humeurs, nos envies et nos motivations, et sont indissociables de nos émotions comme je vous le disais en introduction.
En cas de déséquilibre
Les déséquilibres des neurotransmetteurs sont assez fréquents, que ce soit en termes d’excès, ce qui provoque la saturation des synapses et l’impossibilité de transmettre le message au neurone suivant, ou d’insuffisance qui arrive au même résultat car faute de support chimique, le signal nerveux n’est pas transmis.
En conséquence, d’autres parties du corps vont réagir à ce surplus ou à ce déficit de neurotransmetteurs en fonctionnant outre mesure ou, à l’opposé, plus du tout, ce qui aboutit à des altérations fonctionnelles et/ou comportementales3.
Les éléments perturbateurs de nos neurotransmetteurs
Ces déséquilibres d’un côté ou de l’autre, une communication qui se fait mal, en un mot les altérations dans le fonctionnement de nos neurotransmetteurs peuvent être dues à différents facteurs parmi lesquels : une mauvaise alimentation, un style de vie trop stressant, la consommation de certaines drogues, l’excès d’activité sportive, la pollution et autres toxines, les infections et les inflammations ou encore le vieillissement…
En résumé, beaucoup d’éléments peuvent venir perturber nos neurotransmetteurs, et, à la longue, causer de réels troubles de santé comportementaux, physiques ou émotionnels.
Quatre neurotransmetteurs principaux
Entre une cinquantaine et une centaine (selon les sources) de substances chimiques sont connues comme neurotransmetteurs, agissant tous de manière différente et avec des récepteurs spécifiques, parmi lesquels quelques-uns « dominent ». Ce sont les principaux en un mot : la dopamine (et les deux autres catécholamines que sont la noradrénaline et l’adrénaline) et l’acétylcholine, qui sont des neurotransmetteurs stimulants ou excitateurs, la sérotonine et l’acide gamma-butyrique, GABA, qui sont des neurotransmetteurs inhibiteurs4. L’énergie et l’envie de faire, la créativité, la joie de vivre, et le self control pour « calmer le jeu » avec le GABA, qui se révèle la pierre angulaire de tous les neurotransmetteurs comme nous allons le voir en détail ensuite.
Notre journée équilibrée entre tous nos neurotransmetteurs, c’est passer par toutes ces sensations-là.
Entrons maintenant dans le détail de chacun d’entre eux, leur voie de synthèse, ce dont ils ont besoin pour l’effectuer au mieux, ainsi que les premiers signes pouvant alerter sur leur déficit.
La sérotonine, 5-HT
La sérotonine, c’est la joie de vivre. C’est notre envie de partager, de serrer dans les bras les personnes qu’on est content de voir, etc. Elle nous apporte la sérénité, la tranquillité, l’épicurisme.
Elle est fabriquée à partir d’un acide aminé, le tryptophane, que l’on trouve dans l’alimentation. Les aliments qui en sont riches sont le poisson, les produits laitiers, les volailles, les viandes…
La sérotonine peut soit exciter, soit inhiber le neurone post-synaptique.
La sérotonine marche en couple avec la dopamine : la dopamine, c’est l’action, et le premier frein à l’action, c’est la sérotonine. En clair, les neurones sérotoninergiques peuvent inhiber les neurones dopaminergiques, limitant ainsi les effets de la dopamine : d’un point de vue cérébral, la sérotonine va donc avoir l’effet inverse de la dopamine.
En cas d’insuffisance. Une baisse de l’activité des neurones sérotoninergiques, donc de la transmission sérotoninergique centrale, est associée à certaines formes de dépression.
En cas d’excès. Trop de sérotonine se révèlera en terme comportemental par une espèce d’euphorie où on abuse trop de tout : de sorties, par exemple. Ce sont des comportements qui ne sont pas adaptés à une situation donnée. C’est un comportement enfantin, autre exemple.
On va donc retrouver, en cas d’excès, de l’hyperactivité, de l’irritabilité, une insomnie, une boulimie, notamment les compulsions pour le sucre.
La dopamine
Le mot clé de la dopamine, autrement appelée « molécule du plaisir », c’est l’énergie. Elle est notre starter, c’est elle qui nous permet de démarrer le matin, qui nous donne envie de nous lever, notre envie d’entreprendre. C’est la motivation et le schéma de récompense.
Comme la noradrénaline, la dopamine est synthétisée à partir de l’acide aminé tyrosine.
Les aliments qui stimulent la dopamine sont les noix, la volaille, les œufs, le lait cru, les légumineuses, l’avocat.
Une fois assimilée, la tyrosine sera transformée en L-Dopa qui sera le précurseur de la dopamine.
Elle est le principal neurotransmetteur impliqué dans le circuit de la récompense dans le cerveau (le GABA, la noradrénaline et la sérotonine y interviennent également).
La dopamine est précurseur de toutes les catécholamines : elle va servir à la synthèse de base de la noradrénaline, le neurotransmetteur de notre vigilance, elle-même étant le précurseur métabolique de l’adrénaline.
Ces neurotransmetteurs sont spécifiques du système nerveux orthosympathique, c’est-à-dire celui qui nous permet de consommer de l’énergie. Nous consommons nos ressources parce que nous devons nous mettre en action. D’où le premier frein très important de la sérotonine pour mettre le cerveau au repos une fois l’action réalisée.
En cas d’insuffisance. Les signes montrant un déficit en dopamine s’expriment par un peu de fatigue, une incapacité à se lever le matin, de la procrastination alors qu’on n’est pas du style à remettre au lendemain, un peu d’apathie, une indécision avec du stress au moment d’opérer un choix, une démotivation et une dépression.
Dans la version pathologique plus lourde, la carence en dopamine est associée à la maladie de Parkinson, et son excès à la schizophrénie.
Leurs voies de synthèse et leurs cofacteurs
Concernant la synthèse de la sérotonine, le tryptophane va avoir besoin de vitamines B9, C et D et de fer pour passer à l’étape du 5-hydroxy-tryptophane, qui va à son tour avoir besoin de vitamine B6 pour faire de la sérotonine.
Quant à la synthèse des catécholamines : la tyrosine va avoir besoin des vitamines B9, B12, C et D pour fabriquer de la L-Dopa, qui va avoir besoin de vitamine B6 pour faire de la dopamine, qui elle-même nécessite une quantité suffisante de vitamine C, de magnésium et de cuivre pour faire de la noradrénaline, qui enfin à son tour a besoin de vitamines B6, B9, B12 et de méthionine pour fabriquer l’adrénaline.
Le bon déroulement de ces étapes enzymatiques est donc conditionné à des apports nutritionnels adéquats.
La tyrosine ne manque certes pas dans l’alimentation, mais si des cofacteurs viennent à manquer, la réaction se fera certes, mais la L-Dopa sera présente en moindre quantité, puis la dopamine, puis la noradrénaline… On comprend bien la cascade de conséquences.
Un manque de cofacteurs peut déjà induire des difficultés à se lever le matin parce qu’on a moins de dopamine, une moindre vigilance et attention dans l’action (renverser, casser), ce qui parle d’un manque de noradrénaline, et ne pas agir en situation d’urgence, qui peut révéler un manque d’adrénaline.
Donc, si l’acide aminé est la clé de voûte dans la synthèse de ces neurotransmetteurs, nous avons aussi tous les cofacteurs qu’il est essentiel d’avoir en concentration suffisante.
L’acétylcholine
C’est la créativité, l’ouverture d’esprit, l’intuition.. L’acétylcholine, c’est le neurotransmetteur de nos sens.
C’est le seul neurotransmetteur dont la voie de synthèse ne commence pas par un acide aminé.
Pour le fabriquer, l’organisme va utiliser une molécule que l’on trouve dans les mitochondries : l’acétyl-coenzyme A (acétyl-CoA), qu’il va combiner à la choline. Cette dernière provient de l’alimentation, mais elle peut aussi provenir de la fabrication endogène (par l’organisme) à partir d’un acide aminé, la glycine, provenant elle-même de la sérine, acide aminé non essentiel, donc produit par l’organisme, très répandu dans les protéines.
L’acétylcholine agit, elle, sur le système nerveux parasympathique, c’est-à-dire la récupération après l’action. Nous sommes programmés physiologiquement pour cette récupération et c’est pour cela qu’il faut absolument respecter ce temps-là durant lequel nous sommes en train de fabriquer notre acétylcholine5.
Vous avez bien compris que le déroulement optimal de cette voie de synthèse est conditionné au bon fonctionnement, optimal lui aussi, de nos mitochondries. (Lien vers Voyage en mitochondries et Les nutriments essentiels pour vos mitochondries)
En cas d’insuffisance. Les premiers troubles pouvant apparaître si l’acétylcholine vient à manquer sont une baisse de la créativité et de l’imagination, et des difficultés à se concentrer et à mémoriser.
En termes de pathologies lourdes, on va retrouver la maladie d’Alzheimer avec la dégénérescence des neurones à acétylcholine.
Benoît Chassaing nous apporte une précision importante sur la choline qui s’avère un métabolite intermédiaire crucial, nous dit-il, dans la mesure où selon ses besoins, l’organisme l’utilisera pour synthétiser l’acétylcholine ou comme donneur de groupement méthyle. En cette qualité de donneur de méthyle, elle agit dans des voies de méthylation, des voies très importantes, qui sont combinées aux vitamines B6, B9 et B12, afin de permettre une baisse le l’homocystéine, facteur de risque cardiovasculaire, la réplication de l’ADN, une bonne protection des lipoprotéines, une bonne voie de détoxication hépatique.
On la trouve dans les œufs (un petit jaune d’œuf tous les matins, par exemple, très riche en choline), le foie, la viande et le poisson, puis les légumineuses et les noix.
À noter que certaines personnes ont besoin de plus de choline que d’autres en raison de certains polymorphismes génétiques fréquents. La supplémentation sera alors à envisager.
Le GABA
L’acide gamma-amino-butyrique ou GABA, c’est le self-control. Il nous apporte la stabilité, la cohérence, la pondération, et nous assure le calme, la tranquillité, dans l’instant présent.
Le GABA, c’est la pierre angulaire de tous les neurotransmetteurs : tout découle de lui. Si lui va, les autres neurotransmetteurs sont à l’équilibre : je dors bien, la vie est belle, je ne suis pas stressé, j’ai envie de me lever et de mener à bien mon projet en me donnant les moyens.
L’action gabaergique c’est la capacité de détendre notre système nerveux, de dire stop. Dès lors que l’on s’occupe du GABA, on se prémunit ainsi de tous les problèmes de santé rattachés à son déficit, et notamment du stress et autres comportements inappropriés.
À l’instar du couple domaine/sérotonine, le GABA fonctionne en couple avec le glutamate, qui lui est un excitateur du système nerveux central. La conversion du glutamate en GABA nécessite la présence inconditionnelle de vitamine B6. Si elle vient à manquer, cette conversion ne fera pas et nous allons être dans un comportement de haute excitabilité nerveuse.
Outre la vitamine B6, il a également besoin de trois oligoéléments : le potassium, le magnésium et le calcium. Le système nerveux ne viendra jamais à manquer de ces oligoéléments certes, mais s’il n’en a pas suffisamment à disposition parce qu’on est en déficit ou carence, il va aller le « piller » dans d’autres systèmes de réserve minérale. Ainsi, les premiers signes qui peuvent apparaître en cas de déficit en GABA, c’est certes l’anxiété, mais aussi des problèmes dentaires (déchaussement…), des chutes de cheveux : en clair, l’organisme est en train de se déminéraliser. Et de là, suivra tout le cortège des petites inflammations de bas grade : des petites rhinites, des petites infections à répétition, etc. Le corps est déjà en carence.
En cas d’excès. Un excès de GABA, c’est, par exemple, se mêler de tout et ne s’occuper de rien.
En cas d’insuffisance. Une carence en GABA va s’exprimer par une anxiété, des attaques de panique, des manies avec une certaine psychorigidité, c’est-à-dire que chaque chose doit être à sa place, il faut tout contrôler, tout régenter, parce que cela rassure.
Le burn out, le bore out et le brown out sont des états émotionnels pouvant également être traversés dès lors qu’il y a des carences en neurotransmetteurs. Le bore out, qui concerne les personnes en sous charge de travail, et ses symptômes sont directement liés à la baisse de sérotonine. Le brown out quant à lui s’exprimant par le manque de sens dans le travail quotidien du fait de tâches absurdes et le manque d’énergie, parle de la baisse de dopamine, ce qui rejoint le burn out.
Comment rééquilibrer nos neurotransmetteurs6 ?
Il est essentiel d’avoir un apport alimentaire de qualité et adéquat en vitamines, oligoéléments et acides aminés précurseurs, mais aussi en acides gras polyinstaurés afin d’atténuer les effets d’excès ou de carences de neuromédiateurs, de rétablir les équilibres et/ou de réguler les effets du stress.
On commencera par restaurer les taux de neurotransmetteurs par leurs précurseurs avec du L-tyrosine ou L-trytptophane, selon les symptômes observés au niveau comportemental ou cognitif, que nous venons de voir ensemble, avec L’acide glutamique (et la glutamine) précurseur du GABA, ainsi que la vitamine B6, et la taurine, qui est un neuromédiateur à action directe sur les récepteurs GABA, fixateur de magnésium qui plus est.
Ensuite il s’agit d’améliorer, si besoin, l’entrée des précurseurs dans le système nerveux. Les acides aminés doivent en effet traverser la barrière hémato-encéphalique : elle régule les entrées de nutriments dans le cerveau grâce à des protéines de transport. L’une d’elles assure l’entrée du tryptophane, mais aussi de la tyrosine et d’autres acides aminés dits ramifiés (leucine, isoleucine, valine). Ces derniers entrent ainsi en compétition, ce en défaveur du tryptophane qui ne représente en effet que 1 à 2% de l’ensemble des acides aminés constituant les protéines, alors que la tyrosine représente 4 à 5%.
La solution est donc de se supplémenter en tryptophane dès lors qu’il n’y a pas de souci intestinal, avec une collation entre 17h et 18h. Les glucides, en effet, favorisant la libération d’insuline vont entraîner l’entrée dans les cellules des acides aminés ramifiés et le tryptophane est alors plus abondant au niveau du cerveau.
Ensuite on favorisera la synthèse des neuromédiateurs également par l’apport des cofacteurs et leur fixation au niveau des neurones avec toues les vitamines du groupe B, et les vitamines C et D. Côté minéraux/oligoéléments, le cuivre, le manganèse, le zinc, le fer et le magnésium sont indispensables à la synthèse et/ou au stockage des neuromédiateurs. Le calcium aussi est important. La L-méthionine augmente les taux d’adrénaline et de mélatonine.
L’inostol est un stimulant au niveau synaptique favorisant la transmission du signal après que le neurone se soit fixé au niveau de la synapse.
En cas de grosse perturbation et de stress important, la stratégie phytonutritionnelle permettra d’améliorer les mécanismes d’adaptation, de soutenir les systèmes, ce à l’aide de plantes adaptogènes telles que l’ashwagandha (GABA), l’éleuthérocoque (dopamine), le safran et griffonia (sérotonine), la rhodiola (dopamine/sérotonine).
Il faut également limiter les processus d’acidose métabolique et/ou d’inflammation, ce qui se fera sous forme de citrates pour tamponner au maximum.
Sans oublier les vertus du curcuma, du safran et des oméga-3.
Pour conclure, vous avez bien compris que les neurotransmetteurs sont rattachés à une dimension de comportement. La société moderne fait que nous courons tout le temps après tout : le bus, le travail… le temps ! En terme de stratégie non nutritionnelle qui a toute sa place : redonnons du temps au temps !, comme le dit si bien Benoît Chassaing, et trouvons-nous une activité qui respecte notre physiologie et nous fasse du bien. Ce sans aucune négociation possible, en oubliant le terrible « j’ai pas le temps », c’est inscrit dans l’agenda. Déjà, on aura rétabli quelques équilibres ou éviter que n’en survienne. Cela peut être la cohérence cardiaque, la méditation, la randonnée pédestre ou à vélo… Le panel est large, vous y trouverez forcément ce qui vous convient le mieux.
Je vous invite à lire le livre d’Eric Braverman : Un cerveau à 100%, Thierry Souccar Éditions, permettant de tester vos transmetteurs en mode non biologique, mais plutôt en mode comportemental : pour chaque neurotransmetteur, un comportement est associé. Des tests y sont proposés permettant de connaître votre nature dominante et vos carences.
Il existe aussi des tests biologiques permettant de renseigner les taux des différents transmetteurs. Très spécifiques, ils sont effectués par des laboratoires d’analyse fonctionnelle. En France, le laboratoire Bertrand les propose, et le laboratoire Linz en Belgique.
Marion Kaplan et Myriam Marino.
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Notes
1 – Webinaire de Benoît Chassaing, expert en neurosciences et en développement personnel, sur Energetica Natura : Comment bien corréler un profil de neurotransmetteur avec un trouble dépressif, anxieux ou de sommeil, dont je me suis beaucoup inspirée pour cet article
1 – Qu’est-ce qu’un neurotransmetteur ?, Psychomedia, 21 juin 2009
2 – Les neurotransmetteurs, Energetica Natura
4 – Les neurotransmetteurs sont dits excitateurs quand ils déclenchent un influx nerveux dans le neurone récepteur (post-synaptique) et les neurotransmetteurs sont dits inhibiteurs parce qu’ils empêchent le déclenchement d’un influx nerveux et aident notre cerveau à mettre fin aux actions. Tant les excitateurs que les inhibiteurs sont nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Neurotransmetteur : définition, rôle et fonctionnement, Passeport Santé
5 – Déjà cité en note 1
6 – Ces stratégies sont présentées en détail dans le webinaire de Benoît Chassaing